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Très déroutant...on dirait un palimpseste...en même temps la dominance du blanc en fait qqchose de très épuré, très doux. C'est sublime!
Rédigé par : washi | 06 mars 2006 à 07:58
Qui donne naissance à qui?
Quelle trace laisse celui qui s'en va?
Ce va et vient en miroir n'est-il peut-être qu'illusion comme ces écritures archaïques revisitées....
Toujours est-il que le temps y laisse ses cicatrices et l'or s'y dépose comme un cataplasme....
Je passe de l'autre côté, ma raison chavire et je me mets à rêver....
Un doux songe sans frontière....
Merci pour cette subtile impulsion...
Rédigé par : Kaïkan | 06 mars 2006 à 08:53
Washi, Kaïkan, au début, était le livre, ou la peinture, ou les deux ensemble confondus,toujours est il qu'à un moment la peinture s'empare délicatement du livre et que le livre devient tableau. Ces improbables palimpsestes, interrogent les origines et quêtent l'impossible unité. D'immémoriales écritures, se recouvrent, se dévoilent, se détruisent, fraternisent, poussière d'histoire, celle conflictuelle des hommes, elles se réconcilient sur cette surface de la toile où la peinture donne ordre au désordre et sens à l'insensé.
Rédigé par : dp | 06 mars 2006 à 17:25
Le livre pourrait s'envoler : plume, légèreté, ailes graciles le libèrent de sa densité... Quel beau mystère ici : dévoilé, transparent et du coup plus profond encore ! Plus intense... plus étrange... Peu importe la langue utilisée, cette étrangeté nous parle, ravive des désirs d'enfant, des visions spontanées, libres.
Rédigé par : Fugitive | 06 mars 2006 à 21:43
...et vous sereine....merci, pour votre enchantement, Dominique, très touchée.
Rédigé par : vi | 07 mars 2006 à 13:11
... ces blancs tout à la fois griffés et caressés d'écritures.
...tout à la fois d'écritures, de brindilles et de petits débris précieux...
Tu te doutes combien j'aime, Dominique !
frédériC
http://fredericlement.blogspirit.com/
Rédigé par : fredericlement | 08 mars 2006 à 10:36
Merci, Dominique, pour vos pensées, vos images, vos mots qui exaltent le regard et exigent de lui plus encore...
Rédigé par : Fugitive | 08 mars 2006 à 11:31
Le ciel me parait, tout à coup, moins gris, moins désespérant, c'est à vous que je le dois, Frédéric et Fugitive...Merci.
Rédigé par : dp | 08 mars 2006 à 13:51
... j'apprécie
... nous apprécions
... ils ou elles apprécient
Rédigé par : sylvie | 08 mars 2006 à 20:49
..souffle doux pour chasser le gris et le désespoir....
Rédigé par : vi | 09 mars 2006 à 18:30
... il est des pages ni blanches ni noires et blanches.
Il en est dont les mots prennent couleurs et coeur, or et végétal et dont les lettres vives et transformées rythment et enchantent les mots / vibre le papier sous votre plume ...
Rédigé par : sylvie | 11 mars 2006 à 19:32
Sylvie, impossible d'accéder à votre blog, je tombe sur une page blanche,est-ce normal?
Rédigé par : dp | 12 mars 2006 à 00:14
... voila dominique je pense que maintenant l'impossibilité et vaincue par la magie de trois petits bas de casse triptyque de "w" effacés mis là par lapsus ...
Rédigé par : sylvie | 12 mars 2006 à 18:16
Belle série. proche de l'effacement. mais persistance des traces. "seules les traces font rêver".
Rédigé par : Armand | 12 mars 2006 à 18:37